LONI LA TERRASSE BOIS : Terrasses en bois, Aménagement extérieur
LONI LA TERRASSE BOIS
Z.A. La Louière
25620 L’HÔPITAL-DU-GROSBOIS
03 81 55 86 33
06 81 57 53 12
MÉTIER
– Terrasses bois.
– Conception et réalisation.
– Fourniture et installation.
– Garde corps.
– Panneaux pare-vue.
LONI LA TERRASSE BOIS
MÉTIER
– Terrasses bois.
– Conception et réalisation.
– Fourniture et installation.
– Garde corps.
– Panneaux pare-vue.
NOTRE INTERVIEW
La nouvelle pièce de la maison !
Didier Detouillon a fait de sa passion du bois son métier. il nous présente la terrasse bois, un espace à vivre à part entière.
Présentation par Didier Detouillon.
Didier, pouvez-vous nous dire ce qu’est exactement « LONI », la terrasse bois ?
Didier : « J’ai un BTS de mécanique automatisme, sans rentrer dans les détails, j’ai travaillé dix-huit ans dans l’industrie mécanique au poste de cadre comme responsable de production (aux fours électriques à Besançon). Depuis vingt ans, en dehors de ma vie professionnelle j’avais une passion, le bois. J’avais des machines à bois dans le garage, j’ai toujours aimé ce matériau. J’ai profité d’un mouvement social dans mon entreprise pour aller vivre ma passion tous les jours. J’ai démissionné d’une bonne place, et j’ai lancé mon entreprise en 2008. C’est comme ça qu’est né LONI (les initiales de mes enfants). »
Vous avez toujours installé des terrasses en bois ?
Didier : « Non, les deux premières années j’étais associé avec un pisciniste et nous nous répartissions les tâches. L’entreprise a bien évolué et nous sommes arrivés à pratiquement une dizaine de personnes. J’avais pensé à l’époque que je pouvais gérer une entreprise du bâtiment comme une équipe en industrie. J’ai vite compris que ce n’était pas du tout la même chose. Donc j’ai revu ma copie à la baisse, un salarié (Lucas), un apprenti (Florian) et un camion.
Déjà pour des raisons économiques et également d’efficacité. Un seul véhicule cela veut dire que nous sommes toujours ensemble sur nos chantiers. On termine ce que l’on a commencé. »
Cela ne vous handicape pas pour suivre plusieurs chantiers en même temps ?
Didier : « C’est une question d’organisation, mais en règle générale nous gagnons du temps. Si on doit laisser sécher un béton sur un chantier pendant une semaine, on range nos outils pour préparer le suivant et ainsi de suite. Il est rare que nous ne soyons pas ensemble. Je suis toujours avec Lucas et Florian, même si l’organisation de l’entreprise m’empêche d’être au même rythme qu’eux. Je suis là pour garantir le bon déroulement des travaux et en attendant notre chantier avance, et c’est seulement quand il est terminé que l’on repart sur un autre que j’aurai approvisionné au préalable. Cette organisation, je l’ai apprise dans l’industrie. »
Pouvez-vous nous détailler ce que vous proposez autour de la terrasse ?
Didier : « Nous fabriquons nos gardecorps. Je fabrique moi-même mes poteaux dans du bois massif (ipé, classe 4, imputrescible), je les usine, les rabote et les perce. Les mains courantes sont en inox brossé que je travaille. Je pars de barres de cinq mètres et je soude les angles. Pour les remplissages on peut mettre des câbles en inox, ou alors, en partie pleine, une toile batiline (fils de polyester gainés de polychlorure de vinyle, tissés puis soudés aux intersections).
Nous fabriquons également nos brise-vues (claustra) en bois qui peut être en clin, en composite ou en plein, ou encore avec des poteaux en aluminium. Nous pouvons également les fabriquer en toile de batiline montée sur un cadre en aluminium ; c’est très tendance, résistant aux intempéries et efficace pour la sécurité. »
Pouvez-vous nous décrire les différents types de terrasses que l’on peut rencontrer ?
Didier : « Nous réalisons des terrasses comme celle-ci (chantier de l’interview), dites sur ossature, ce sont des terrasses en débord à deux ou trois mètres de haut devant des agrandissements en portes-fenêtres (réalisés par un maçon). Pour l’étanchéité, c’est une question de garantie, je fais appel à un étancheur. L’intérêt de faire une étanchéité est de pouvoir exploiter la surface sous la terrasse, en garage, par exemple, ou même de faire une pièce complètement fermée. J’ai des clients qui remplacent leurs tout-venant devant la maison pour en faire une terrasse en bois.
Nous réalisons un support solide (dalle en béton) – jamais sur caillebotis pour une meilleure tenue dans le temps – et une pente pour les évacuations d’eaux, ensuite viennent les lambourdes (en ipé, classe 4, imputrescible) et la pose des lames de terrasses (ipé, mélèze…). Nous allons avoir également des rénovations de terrasses en bois d’une quinzaine d’années. Vous allez trouver des terrasses avec pergola, sans être vraiment une véranda, la terrasse abritée devient une nouvelle pièce de la maison.
C’est le vivre dehors, au moindre rayon de soleil il fait bon prendre son café à l’extérieur, il est agréable de prendre son petit déjeuner le matin au printemps et de pouvoir dîner le plus tard possible en été. La terrasse devient un vrai lieu de vie et prend le dessus sur le jardin. »
Quel est le premier argument du bois ?
Didier : « Nous fabriquons nos gardecorps. Je fabrique moi-même mes poteaux dans du bois massif (ipé, classe 4, imputrescible), je les usine, les rabote et les perce. Les mains courantes sont en inox brossé que je travaille. Je pars de barres de cinq mètres et je soude les angles. Pour les remplissages on peut mettre des câbles en inox, ou alors, en partie pleine, une toile batiline (fils de polyester gainés de polychlorure de vinyle, tissés puis soudés aux intersections).
Nous fabriquons également nos brise-vues (claustra) en bois qui peut être en clin, en composite ou en plein, ou encore avec des poteaux en aluminium. Nous pouvons également les fabriquer en toile de batiline montée sur un cadre en aluminium ; c’est très tendance, résistant aux intempéries et efficace pour la sécurité. »
Existe-t-il d’autres possibilités que le bois ?
Didier : « En effet, des matériaux nouveaux sont apparus sur le marché, le plus répandu étant les lames de terrasses en bois composite. Comme son nom l’indique, c’est un mélange de déchets de bois (pin, épicéa, peuplier ou érable) issus de scieries et réduits en poudre, de résines polymères (PVC, polypropylène ou polyéthylène) et de divers additifs (antioxydants, antimicrobiens, etc.). Il nous arrive d’en poser, mais ce n’est pas sans certaines précautions.
Tout d’abord, cela va être des terrasses droites, sans coupe, avec le bon pourcentage de pente pour l’évacuation des eaux. C’est un matériau qui n’a pas les propriétés du bois ; en terme de confort, il faut le savoir, il restitue la chaleur : attention aux pieds nus en été. Comme tous les produits “industriels”, il faut bien choisir sa lame en bois composite, tant les fabricants et les qualités sont nombreux. »
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