ID’RENOV : Cloisons, peintures et revêtements muraux

ID’RÉNOV (SARL)

5 rue de la chainée
25410 BERTHELANGE

06 44 30 43 77

[email protected]

idrenov.fr

MÉTIER

– Cloisons sèches (placo).

– Isolations thermiques
et phoniques.

– Peintures.

– Revêtements muraux.

– Faïence, faux plafonds…

ID’RÉNOV (SARL)

5 rue de la chainée
25410 BERTHELANGE

06 44 30 43 77

[email protected]

idrenov.fr

MÉTIER

– Cloisons sèches (placo).

– Isolations thermiques
et phoniques.

– Peintures.

– Revêtements muraux.

– Faïence, faux plafonds…

NOTRE INTERVIEW

Id’Rénov : des idées plein les mains !

Installé depuis 2011 après un parcours atypique, Jérôme Boudinet fait déjà preuve à 32 ans d’une grande expérience, et porte un regard réfléchi sur son métier.

Présentation par Jérôme Boudinet.

Id’Rénov est une jeune entreprise, pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?

Jérôme : J’ai une formation commerciale. J’ai passé 6 ans dans un magasin de sport comme vendeur. Puis, j’ai fait un passage en usine et ensuite je suis parti au Don du Souffle (appareillage et livraison d’oxygène pour les insuffisants respiratoire).

On est bien loin de votre activité d’aujourd’hui, quel est votre chemin ?

Jérôme : Tout a commencé par la construction de ma maison dont j’ai fait l’acquisition en “hors d’eau” (c’est à dire avec juste le toit posé, mais tout le reste à faire). Nous avons fait tous les travaux restants avec mon frère. Du goût du travail manuel et de notre facilité d’exécution est venue l’idée de s’installer. Pour faire les choses bien, dans le cadre d’un CIF, j’ai fait une formation (CAP) de Plâtrier chez les Compagnons à Mouchard.

En exercice depuis 3 ans maintenant, avez-vous une spécificité ?

Jérôme : Nous n’avons pas à proprement parler une spécialité. Le métier de plaquiste reste une activité généraliste. Ce qui est sûr c’est notre volonté de durer dans cette profession. Nous travaillons dans les règles de l’art dans le respect des normes (DTU). Si nous devons mettre une vis tous les 30 cm, ce n’est pas tous les 60 cm.

Par exemple sur ce chantier, le client est un architecte. Il a entendu parler de notre travail et après avoir échangé, nous lui avons montré d’autres chantiers.

Nous sommes sur un chantier d’une certaine taille (260 m2), cela ne vous a pas fait peur ?

Jérome : Le gros du chantier s’est déroulé sur 2 mois. Maintenant, nous sommes sur un dossier atypique dans le sens où celui-ci évolue au fil du temps avec des demandes plus particulières du client qui est aussi maître d’ouvrage (caissons au plafond pour cacher les tringles à rideaux, niches ou alcôves dans les salles de bains…).
Le tout doit être réalisé avec une véritable rigueur d’exécution pour répondre au niveau d’exigence du client. Et finalement, si nous arrivons à répondre à ces demandes particulières, c’est aussi parce que ma formation de plâtrier m’a amené à suivre des “staffeurs” qui savent répondre à toutes ces demandes d’éléments décoratifs.

Un chantier comme ça ne vous handicape pas pour en suivre d’autres ?

Jérome : C’est une question de planning. C’est moi qui évalue le temps de travail sur un chantier. Je tiens toujours compte des imprévus et des autres lots.

Ce qui nous plaît ce sont les projets qui demandent des techniques un peu particulières ou «tordues» dans le placo : cloisons arrondies, ouverture en demi-lune, etc.

Quelles sont les dernières innovations de votre profession ?

Jérome : Aujourd’hui, les nouvelles réglementations impactent le coût de la construction neuve. L’objectif est la réduction de nos consommations énergétiques. Cette volonté existe également en rénovation. À ce sujet, nous sommes en cours de certification «RGE», une certification reconnue par le «Grenelle Environnement». C’est important pour maintenir notre niveau de connaissances des normes d’exécution et le niveau de qualité pour nos prestations, mais également pour nos clients.

Si ils veulent bénéficier de dispositifs publics (crédit d’impôt développement durable, éco-prêt à taux zéro, PTZ+, certificats d’économies d’énergie, etc.), les entrepreneurs choisis doivent pouvoir être certifiés. Le dispositif de qualification contribue à la montée en compétence des entreprises du bâtiment et apporte une image forte du secteur de la construction. Nous sommes avant tout soucieux de la qualité de nos travaux et de la satisfaction de nos clients.

Vous avez aimé cette interview ? Alors demandez et recevez gratuitement chez vous ou au bureau votre prochaine magazine !